Des cavaliers, des motards (souvent
à 5 sur une seule moto) surgissent de nulle
part, toujours de l’aïrag
à la main. Ils partagent quelques moments
de détente, et de rire. Se laisser porter
par leur hospitalité. Partager avec eux
la chaleur de la ger,
goûter quelques fromages et du thé
lors des orages éclaboussant la steppe.
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